Les couvertures de Sempé pour le New Yorker sont peut-être moins connues du public francophone. Les nombreuses illustrations qu’il a réalisées pour la Une du magazine qui met cet art à l’honneur depuis sa création, sont des pures perles, des histoires sans paroles. Je pense que Sempé était le seul à voir New York telle qu’il la voyait et sa façon de nous la raconter est un exercice de storytelling de haute maîtrise, un enchantement, dessiné avec une liberté de ton, une richesse de couleurs et un sens de la composition qui m’époustoufle tant que je vous en mets 24 en ligne. Pourquoi 24? Parce qu’il a bien fallu que je m’arrête et que vous pouvez découvrir les autres sur Google.
























Merci Michel pour cette formidable gallerie!