Michel Kichka

Le Brésil n’a pas été épargné par le vent mauvais de populisme raciste, xénophobe, homophobe et autres phobes. La carte du monde est salie par ce populisme qui fait tache d’encre.  La vitesse à laquelle ce vent souffle et tourne est impressionnante. Cela nous permet de mieux comprendre les phénomènes qui ont entraîné les guerres et les génocides du siècle passé. Notamment la façon dont les élans populaires sont soulevés comme une tornade par le populisme et son lot de discours réducteurs, de mensonges manipulateurs, de fake news et d’ennemis imaginaires inventés pour attiser la peur et la haine des foules laborieuses et ignorantes. Là se trouve le danger du populisme qui lui est bien réel.
Pourquoi faut-il avoir un ennemi pour se définir?
Il y a pourtant de si belles valeurs humaines et humanitaires au-delà des religions et de l’argent.