Erdogan est en principe contre l’avortement, sauf quand il s’agit d’un coup d’état contre sa « démocratie ». La grande vague d’épuration qui a déjà commencé dans l’armée et dans la magistrature lui construit l’autoroute sur laquelle il va pouvoir continuer de rouler à fond la caisse sans regarder dans son rétroviseur, sans clignoter, sans s’arrêter au feu rouge. A se demander si ce « coup » n’est pas un coup d’Erdogan lui-même!
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