Enfin une petite crise à la française qui n’a rien à voir avec le djihadisme, le racisme et l’antisémitisme. Juste avec le sexisme du monde de la BD considéré pendant de très nombreuses années comme un métier d’homme. Mais les choses ayant changé depuis les années 80, il était normal et juste de proposer des noms de dessinatrices-auteures pour être éligibles à la présidence du festival.
Angoulême: BD au féminin
01/14/2016 par Michel Kichka
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