Paris Plage invite Tel Aviv Beach pour une journée. En l’occurrence demain, 13 Août. Les réactions tombent les unes après les autres à un rythme exponentiel. Par honnêteté intellectuelle, je vous mets des liens sur quelques articles.
Une tribune de Tardi parue dans L’Huma. Une façon de lui donner un droit de réponse à l’article que j’ai publié sur lui aujourd’hui:
http://www.humanite.fr/jacques-tardi-mon-indignation-581251
Un article de Julien Salingue paru dans Libé:
http://www.liberation.fr/debats/2015/08/11/tel-aviv-sur-seine-la-mort-a-la-plage_1362047?xtor=EPR-450206&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=quot
Un article de Benjamin Barthe correspondant à Beyrotuh paru dans Le Monde:
http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/08/12/tel-aviv-sur-seine-demontre-que-la-grille-d-analyse-des-politiques-francais-est-perimee_4721729_823448.html
Un article qui m’a fait sourire sur le blog de Laurent Sagalovitsch que ne le connais pas et qu’on m’a envoyé ce matin:
http://blog.slate.fr/sagalovitsch/2015/08/09/tel-aviv-sur-seine-les-neo-nazis-israeliens-colonisent-paris/
Chacun essaye de défendre son point de vue de son mieux. Le débat d’idées donne toute sa force de la liberté d’expression. C’est quand même plus agréable de n’être pas d’accord quand l’argumentation est exposée de la sorte. Je ne les cautionne pas mais j’estime qu’il est important de les lire. Et puis ça change des horreurs qui sont vomies sur les réseaux sociaux et me donnent la nausée.
En prime un dessin de la plage de Tel Aviv que j’ai réalisé en 1985
Mais mois je vous connais très bien ! Quelle déception que l’inverse ne soit pas vrai. Figurez-vous qu’il y a deux ans, pour la dernière parution de mon dernier roman, je suis invité à Liège pour une rencontre dans une librairie. Après l’entretien, le conférencier m’offre votre BD deuxième génération en me disant, ça devrait vous plaire. Tu m’étonnes ! Depuis je l’ai offert à plusieurs reprises. Je crois que sans se connaître on partage énormément de choses. Au plaisir de vous lire !
Merci Laurent!
Enfin Dieu m’a répondu ! Je peux mourir tranquille alors.