La priorité absolue du gouvernement Israélien aurait dû être la libération de tous nos otages, à tout prix, pour respecter le pacte tacite gravé dans le marbre entre l’état et chaque citoyen. Netanyahou et son gouvernement d’extrême droite ne l’ont pas entendu de cette oreille. C’est la rupture la plus douloureuse que le pays ait connu et qui vient s’ajouter à la tragédie des otages et de leurs familles. C’est une plaie béante dans la raison d’être d’Israel et dans son existence même. L’échec le plus cinglant et le plus sanglant de ce gouvernement. Tout le reste n’est que politique.

Dessin réalisé pour Regards, CCLJ Bruxelles
Sur le mur, les noms en hébreu de nos 101 otages.
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